La traçabilité des porcins est assurée dès l’exploitation de naissance des animaux. Chaque porcelet se voit attribué un numéro d’identification, présent soit sur une boucle jaune à l’oreille soit sur un tatouage à l’encre foncée sur l’épaule.
Une fois l’animal arrivé à l’abattoir, un numéro correspondant à l’abattoir et à l’année est apposé sur les quatre pièces principales de la carcasse, à savoir le jambon, l’épaule, la longe et la poitrine. Par la suite, des numéros de lots de découpe sont attribués et permettent de faire le lien avec l’animal, tout au long de la chaîne.
A l’image de ce qui existe pour les autres espèces, le numéro de lot sera reporté sur l’étiquette du produit (viande, charcuterie) vendu au consommateur.
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